La guerre contre Gracia : Volume 2, La Contre-Attaque

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Lunor
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La guerre contre Gracia : Volume 2, La Contre-Attaque

Message par Lunor » jeu. mars 26, 2020 3:01 pm

La Guerre Contre Gracia
Volume 2 : La Contre-Attaque


Résumé du volume précedent :
Peu avant l'an 1700, l'alliance entre graciens et Géants voit le jour : Les graciens avides de conquête s'élancent à la conquête d'Elmore-Aden. Violents, ils remportent une série de victoire sans connaître de défaite et sèment la terreur partout sur leur passage.
La guerre sans pitié prend fin avec la conquête de chaque cité d'ElmoreAden par les graciens. Ils font alors régner la terreur sur tout le continent en massacrant les citoyens, pratiquant l'esclavage, dévorant les habitants et commettant bon nombre d'horreurs innommables.

Depuis lors, des hybrides entre graciens et géants patrouillaient les rues de chaque cité, rappelant à tous que d'un instant à l'autre, la fureur gracienne pouvait s'abattre sur n'importe quel innocent.

En 1710, les enfants de Sayha promettent un miracle : L'arrivée de Héros en ce monde qui mettront fin à ce règne de la terreur.
Note de l'Auteur :
Je commence par le second volume de cette série car je n'ai pas pu connaître de visu la première période de la guerre. J'écrirai sur ce que j'ai pu voir de moi même de cette guerre.

Ce récit sera donc partial et fera état de mon ressenti, mais cher lecteur, je vous fait promesse de réciter ici des faits précis et réels. Par cela, je maintiendrai une certaine objectivité.
Avant les combats :

Le miracle promis par les Erthéias survint et nous vîmes arriver en notre monde de nombreux personnages venus tout droit d'autres mondes. Issus de Vortex, la plupart d'entre eux arrivèrent perdus en ce monde et durent s'adapter à un monde qui leur était tout nouveau et où régnait l'oppression Gracienne.

Dans le même temps, le nombre d'aventuriers jugés digne par l'ancien empereur des géants Hermuncus se multiplia : Ceux qui parvinrent à passer ses épreuves reçurent alors le pouvoir des géants dans les ruines de Ye Sagira. Une force colossale qui avait jusque là était reservée aux graciens.

La première forme d'opposition au régime de terreur Gracien vit le jour le Premier Mars de l'an 1710 avec une affiche placardée dans la taverne souterraine de Gainak, invitant les potentiels intéressés à rejoindre la "Résistance", un clan nouvellement formé promettant de s'opposer aux graciens.

Gainak était alors l'un des rares endroits avec la cité des Arcanes et les sanctuaires à ne pas connaître de présence Gracienne officielle. Certains justifiaient alors cette absence gracienne en raison des puissants démons qui encerclaient l'endroit. D'autres de part l'implication des Mammons dans cette ville sous-terraine... La raison exacte reste aujourd'hui encore un mystère. C'est cette absence de gracien, ce côté "repaire de comploteurs" et la neutralité du lieu qui fit rapidement son succès dans les rencontres entre intéressés par la fin de l'empire Gracien ou du moins son retrait d'ElmoreAden.

De nombreux clans virent le jour dans les semaines qui suivirent cette première déclaration de "résistance" à l'empire. Une présentation succincte de ceux-ci s'impose pour comprendre la suite du récit :

Le Bataillon d'abord, un regroupement de personnes issues des vortex qui désiraient retrouver leurs mondes. Forts et nombreux, ils étaient également fort de caractère et belliqueux.

Héralia ensuite, une guilde angélique visant à défendre la Forteresse Blanche, bastion des anges. Peu remarquée, elle finit par sombrer dans l'oubli progressif pour des raisons inconnues.

Le Cénacle un clan représentant la cité Orientale et visant à défendre et protéger les terres orientales.

Les Oubliés enfin, ayant pour but de réunir des gens se sentant perdus.

Malgré les querelles entre les divers clans, il vint rapidement comme une nécessité de s'unir pour lutter contre les graciens. Hélas, un mélange de peur et de prudence empêchait toute action directe contre l'empire gracien. Si seuls quelques hybrides patrouillaient encore les villes des cités conquises, ceux-ci étaient connus pour avoir le pouvoir d'anéantir des légions entières de quelques coups de leurs masses mortelles. Si maintenant nombreux étaient ceux à avoir le pouvoir des géants, il était compliqué d'estimer les chances d'une réussite lors d'un assaut frontal.
Les clans perdirent beaucoup de temps à se disputer sur les diverses actions à entreprendre, sur quelles villes libérer en premier et de quelle façon il faudrait alors procéder.

Ce furent les Oubliés qui décidèrent de frapper les premiers, de façon précipitée, et ceci contre l'avis des autres clans : Ils désiraient prendre Aden, symbole s'il en est.
Si les autres clans refusérent d'accompagner les Oubliés au combat, les jugeant trop téméraires, ils les aidèrent tout de même à prévoir un point important : L'évacuation des civils. Les Oubliés devaient leur distribuer des cartes magiques peu avant le début des combats afin que ceux-ci puissent évacuer la ville en cas de contre-attaque gracienne.

La Libération d'Aden :

La bataille pris place dans la soirée du 15 Avril 1710, un jour aussi glorieux que funeste.

Quelques minutes avant l'assaut, les Oubliés reçurent une missive d'un général du Cénacle leur expliquant que le Cénacle s'occuperait d'évacuer eux-même les civils d'Aden pendant la prise du château. Ils les feraient revenir en cas de réussite des Oubliés si les Graciens ne contre-attaquaient pas..

Pendant que les Oubliés s'infiltraient dans le château pour en prendre les rennes en assassinant subtilement les hybrides à l'intérieur avant de s'emparer du cristal magique permettant de réguler les défenses du château... La Résistance et le Bataillon se dotaient de courage et vinrent profiter de la folie du moment pour assaillir un hybride Gracien, le capturant pour l'étudier. La vérité les frappa alors : Les Hybrides étaient bien moins puissants qu'ils ne le pensaient, ils pouvaient les abattre malgré leur force certes colossale !

Et les Oubliés obtinrent ainsi la première victoire sur Gracia en libérant le Château d'Aden !
Mais pendant ce temps, l'évacuation avait mal tourné.
Voulant pousser la populace à évacuer rapidement, un mage de feu du Cénacle avait provoqué une explosion de feu dans le ciel. Les flammes retombèrent hélas sur la cité, créant une panique pure qui ne fut que difficilement maîtrisée par le Cénacle qui, non sans difficulté, orienta la population vers la sortie Ouest, là où ils voulaient leur faire quitter la cité.

Malheureusement, le repérage fut insuffisant, la foule trop paniquée, et les civils évacués se retrouvèrent face aux renforts graciens qui massacrèrent sans réfléchir tous les civils qui accouraient dans leurs bras.

Ce jour fut la première victoire contre Gracia, le jour de la première ville reprise aux Graciens... Mais aussi une journée sombre, voyant la mort de centaines de civils innocents entacher cette belle journée.

Il s'avéra plus tard que le général du Cénacle avait agis sans demander l'avis de ses supérieur en précipitant une évacuation hâtive. Certains diront que "seuls ceux qui ne font rien ne font pas d'erreur", ils n'auront pas tort, mais cette erreur couta cher et reste une tragédie.

Le reste de la population fut évacué vers Gainak où différents clans vinrent leur fournir leur aide sous la forme de soins, de nourriture et de tentes.

La contre-attaque Gracienne :

La contre-attaque Gracienne vint le 6 mai 1710, moins d'un mois après la libération d'Aden. Heureusement, une bonne partie de la population était encore réfugiées à Gainak dans des conditions certes précaires... Mais qui ne mettraient pas leurs vies en danger.

Tous virent les navires graciens survoler le bastion Lycan en direction d'Aden, et pourtant la ville fut prise par surprise : Les Oubliés s'étaient assoupis à leur poste et étaient aux abonnés absents quand les Graciens envahirent la cité, gagnant progressivement le château après avoir méthodiquement envahi chaque rue.
Le bataillon fut le premier à se manifester sur place, entamant un combat contre les graciens. Remarquant cependant l'absence des Oubliés, ils estimèrent qu'ils n'avaient pas à se battre ici et abandonnèrent la cité aux graciens.

A peine furent-ils partis que quelques aventuriers venaient à leur tour défendre la cité : Des indépendants, des membres de la Résistance et même quelques membres des oubliés qui se réveillaient enfin.

La bataille fut longue et ardue, le Bataillon finissant par se manifester à nouveau en comprenant qu'il risquait d'être le seul à ne pas avoir son lot de gloire dans cette bataille et ne voulant pas qu'on oublie qu'il était l'un des clans les plus puissants. Les Hybrides étaient là bien plus nombreux qu'à la prise d'Aden... Mais les Graciens furent vaincus, massacrés !
Ce n'était plus un coup de chance... Mais une vraie victoire !

Les Graciens n'avaient toujours pas pris la peine d'envoyer leurs soldats d'élite, ni même dépêcher une légion entière... Ils prenaient toujours cette rébellion à la légère... Mais ce jour là, les aventuriers prouvèrent que, originaires de ce monde ou d'un autre, ils avaient à présent la force de résister et de rivaliser.


La prise de Rouage :

Si tous savaient qu'il fallait être téméraire pour prendre la première ville, tous savaient aussi que les prises à venir seraient plus difficiles : Les graciens étaient désormais au courant que nous possédions le pouvoir des géants. Les châteaux avaient été renforcés, les gardes plus alertes...

Le Bataillon réuni les clans, une fois de plus à Gainak, pour faire part de son désir, à son tour, de libérer une ville. Leur choix s'était poser sur la cité des rouages et ils obtinrent sans trop de mal la collaboration des autres clans, si ce n'est des Oubliés avec qui les relations devenaient tendues auprès du Bataillon.

Le plan du Bataillon était simple : Se réunir au bastion Lycan sous les yeux des graciens, tous enfourcher nos montures, cavaler jusqu'aux portes de la cité des rouages et passer devant les gardes... Puis une fois à l'intérieur sortir nos armes et faire un carnage tandis qu'une partie des combattants partirait vers le château une fois la ville en majeure partie libérée et les habitants ainsi mis en sécurité, laissant sur place quelques guerriers pour s'assurer que les renforts graciens seraient tenus à distance.

Vous pensez qu’un tel plan n’aurait aucune chance de succès ?

Que les graciens stationnés au bastion lycan donneraient l’alerte ?

Que ceux gardant les portes de la cité des Rouages trouveraient étrange qu’une trentaine d’aventurier décide soudainement de passer de concert les portes de la ville ?

Vous avez raison, c’était un plan fou.
Mais il fonctionna : Les hybrides n’étaient pas connus pour leur intelligence… et ils nous sous-estimaient encore bien trop !

Ainsi le 13 Mai 1710 nous écrasâmes les graciens en ville, et tandis qu’une partie des troupes restait en ville pour repousser les renforts qui arrivaient au compte goûte, le reste se rendait au château où le gros des hybride était en garnison !

La bataille fut rude, la première grande bataille : Il ne s’agissait pas de quelques hybrides gardant un château immense, mais de centaines d’hybrides massés à l’intérieur d’un château qu’ils défendirent de leurs vies !
Et la victoire fut au prix d’une vie, celle d’un héros du Bataillon. Je tentais moi-même de panser ses plaies, mais rien n’y put. Il mourut au combat, comme il l’avait sans doute espérer.

Même les Oubliés étaient venus prendre part au combat en participant à la défense de la ville contre les renforts graciens, s’arrangeant ainsi pour ne pas croiser le Bataillon avec qui ils étaient en conflit et qui dans le même temps était au château.

Une nouvelle victoire, une nouvelle ville libérée.


La Libération de la Forteresse :


Il avait été convenu qu’une fois Rouage prise par le Bataillon, ce serait à la Résistance de libérer un fief et son choix s’était porté sur la forteresse Banche, aujourd’hui nommée Forteresse d’Aurakia : Justement en raison de la dragonne qui sommeillait sous la ville.

Le plan fut complexe à mettre en place : Au lieu d’opter pour un assaut frontal, nous feintions une prise de confiance bien trop importante en organisant une fête dans une forteresse arrachée à des brigands au sud des terres dévastée. Une petite forteresse installée sur un ilot.

Dans un geste de provocation, montés sur des wyvernes, nous lâchions des centaines d’affiches sur les villes conquises invitant tous les ennemis des graciens à se réunir pour cette fête en l’honneur des victoires contre l’empire, offrant une date, une heure, et l’indication que les différents chefs des différentes factions anti-gracienne et leurs clans seraient présents, assurant ainsi la sécurité contre les graciens.

Et le jour venu, en date du 27 Mai 1710… les graciens mordirent à l’appât : Un navire de technologie géante, semblable au Supérion, s’écrasa sur la forteresse, enfonçant ses murs et ses fortifications, des milliers d’hybrides en émergeant pour se hâter d’aller éliminer ceux qui auraient survécu à l’atterrissage du navire !

Ceux qu’ils ne savaient pas, c’est que les préparatifs de la fête avaient consisté à creuser des galeries. Ils ne savaient pas non plus que les tonneaux présumés d’alcool qui furent livrés à la forteresse depuis des jours étaient en vérité remplis d’explosifs.

En enfonçant les portes de la forteresse ils découvrirent le célèbre nain Roknir, assis sur les tonneaux d’explosifs, tenant une mèche et de quoi l’allumer. Il leur aurait lancé quelques jurons, aurait allumé la mèche et aurait disparu dans le portail d’une carte.

La forteresse explosa, puis l’île sur laquelle elle était posée suivit son exemple, emportant à la fois un bataillon entier d’hybride et le navire qui les avait mené là.

Nous passerons sous silence l’histoire du sombre ayant mal compris le plan et s’étant trouvé devant la forteresse moins d’une minute avant l’explosion, prenant sa carte juste à temps pour ne pas finir englouti par l’explosion.

Dans la même minute, des feux d’artifices explosèrent dans le ciel de la forteresse Blanche. A ce signal une partie des clans assaillirent la ville pour la nettoyer des graciens qui y patrouillaient, tandis que le reste prenait d’assaut le château, suivant un chemin bien précis pour s’emparer des systèmes de défense magique et ainsi empêcher toute téléportation gracienne au sein du château… avant de nettoyer méthodiquement le château de toute présence gracienne, faisant couler le sang en abondance sur la pierre blanche.

Les graciens n’envoyèrent pas de renfort, leurs regards tournés vers le navire et le bataillon gracien qu’ils avaient détaché et perdu au sud.

Ce jour-là, nous gagnâmes deux batailles en une soirée.

La Forteresse Banche avait été libérée de l’oppression Gracienne, et la Résistance s’y installait.

La Libération d’Orientale :

Le Cénacle d’Orient, bien connu pour son amour du thé, des soirées à la taverne et d’autres actions des plus innocentes n’attira pas vraiment la méfiance des graciens quand il organisa à l’extérieur d’Orientale un grand Pique-Nique le 24 Juin 1710.

Celui-ci visait en vérité à éloigner la population de la cité et du château, mais aussi à cacher dans la population les invités des autres clans dont les graciens se seraient méfiés.

Bien entendu, les graciens auraient pu se méfier des fêtes depuis la dernière qui leur avait coûté cher, mais nous avons déjà statuer que les hybrides n’étaient pas des lumières… Et puis les Orientaux n’étaient ni les plus belliqueux, ni les plus fort, certainement ceux dont ils se méfiaient le moins. Certains les assimilaient même aux graciens depuis l’évacuation d’Aden qui avait poussé les réfugiés dans les bras des hybrides meurtriers.

Pourtant encore une fois, les graciens ne se méfièrent pas assez et c’était bien là le prémisse d’une attaque pour libérer Orientale ! Il n’y eut pas grand-chose à raconter sur cette bataille. Nous libérions tous ensemble la ville avant de faire route vers le château en laissant quelques hommes veiller à la sécurité de la ville. Bien entendu les hybrides opposèrent une farouche résistance, mais les clans y étaient rodés et tinrent bons. La difficulté principale reposa sur la faible taille du château pour un nombre d’Hybride tout aussi important qu’à la précédente bataille dans un château bien plus grand : Impossible de diviser les graciens ou de les affronter en plusieurs lieux, ce fut une bataille rangée où chaque centimètre se gagna sur le corps d’un gracien mort, la cour du château noire de monde.

A la fin de la soirée, Orientale était libre à son tour.


Escarmouches, alliances et conflit :


Chaque clan ayant acquis son fief, la guerre contre Gracia avait perdu de sa superbe.

Tous ou presque avaient convenu qu’attaquer des cités pour les libérer sans pouvoir les défendre ensuite, ne servirait à rien. Alors nous consolidions les villes libérées, nous entrainions et tentions d’étudier la technologie géante afin d’en apprendre plus sur l’armement gracien. Les graciens, eux, restaient étrangement calmes et ne tentaient pas d’autres assauts pour reprendre les villes libérées. De leurs élites et les géants, on ne voyait toujours aucune manifestation… Ils cachaient certainement quelques mauvais coups se disait-on.

Vint le jeu des alliances entre clans qui désiraient se rapprocher : La Résistance et le Cénacle fondèrent ainsi une alliance nommée « L’Union », censée rapprocher leurs deux clans dont les relations étaient au beau fixe.

Ils l’annoncèrent lors d’une fête organisée le 9 juillet 1710 au château du cénacle où serait abordées la question de la guerre contre Gracia et de la suite à lui donner.

Mais le Bataillon n’apprécia pas qu’une alliance ne les impliquant pas soit fondée, insultant les deux clans s’alliant et annonçant très clairement qu’ils se contrefichaient de toute façon de la guerre contre Gracia et demandant explicitement à ce qu’on ne les importune plus avec cela, quittant les lieux et achevant ainsi de se mettre à dos l’ensemble des clans.


Le clan des Ombres nouvellement créé, stationné à Onyx, refusa également de participer au conflit car les graciens, de leurs dires, ne les dérangeaient pas et qu’ils se débrouilleraient à leur façon s’ils venaient à en avoir marre.


Les clans restant : Les Oubliés, la Résistance et le Cénacle, décidèrent ensemble d’organiser des escarmouches régulières contre les graciens pour saper leurs forces le temps que les recherches sur la technologie géante avance, plusieurs pistes prometteuses étant étudiées. De même, quelques espions devaient infiltrer la cité Gracienne et se renseigner pour identifier quelques officiers importants afin de pouvoir en apprendre plus sur les projets graciens.


Les escarmouches se firent ici et là, les clans assaillant deux à trois fois par semaine des patrouilles graciennes dans les villes occupées avant de partir aussi vite qu’ils étaient venus. Puis cela lassa les Oubliés qui arrêtèrent progressivement de participer à ses actions, y préférant se battre avec le Bataillon. Puis le Cénacle suivi et la Résistance, seule réalisa de moins en moins d’escarmouches : Même si quelques têtes d’hybrides tombaient, cela ne semblait pas pour autant affoler les graciens. Au moins, l’utilisation systématique de feux d’artifice au moment de ces escarmouches avait habitué les graciens à un signal d’assaut bien précis de la part des résistants, mais aussi habituer les populations à se terrer chez eux lors de ces même feux d’artifice… Cela serait utile pour la suite.

La situation s’enlisa ainsi et se figea en un simili de trêve avec Gracia qui ne rendait toujours pas les coups et des clans qui préféraient s’entre déchirer que de poursuivre la guerre. Les recherches sur la technologie géante se poursuivaient bien entendu mais ne donnaient malheureusement aucun résultat et les escarmouches se faisaient de plus en plus rares.

Clôture :
Mais l’histoire de cette guerre ne s’arrête pas là, au contraire…

Elle redoubla en intensité un peu plus tard.

A bientôt pour « La guerre contre Gracia : Volume 3, L’Empereur Djoda ».
Azen Fil’enaün, ancien seigneur de la Résistance, Vahlok de l’Ordre Draconnique, 1712
HRP : "Francais Sympa" Dixit Lhaerial

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