ElmoreAden connut enfin la paix tant recherchée par ceux qui s’étaient battus pour. Les graciens, divisés, s’entretuaient en gracia et même le Supérion quitta le ciel d’Onyx pour retrouver sa place à la cité Gracienne. Dans les cités occupées par l’empire, les hybrides suivaient les dernières instructions de leur prince en s’abstenant de faire des vagues.
L’Orientale renaissait de ses cendres par la bonne volonté de certains têtes du Cénacle et d’un marchand aussi riche que gras, La Forteresse d’Aurakia arborait son nouveau nom, ses nouvelles lois et son nouveau clan dirigé par les Vahlok, Le Bastion voyait un nouvel Alpha prendre sa tête avec la bénédiction de Murielle, Le temple de l’Unique prenait forme sous la direction de sa prêtresse Paenavia, Tandis que la cité des rouages elle multipliait les travaux d’agrandissements et de remise à neuf de la cité jadis abandonnée.
Le temple de Paagrio, représenté par son haut prêtre, était en quête de combats digne de lui. C'est par ce seul désir d'affrontement digne de ce nom que le haut prêtre décida de déclarer la guerre à Trasken au sein du sanctuaire de Maphr, découpant, arrachant, brûlant les tentacules et sacrifiant même des orcs corrompus en provoquant Trasken, incitant tout le culte de son dieu à purifier le sanctuaire.
Leurs efforts répétés ne tombèrent pas dans l'oreille d'un sourd, pour peu que Trasken ai des oreilles : Ce fut d'abord le grand nord qui trembla, puis progressivement les terres de plus en plus proches du sanctuaire jusqu'à ce qu'inévitablement... Trasken lui-même émerge au sein du sanctuaire de Maphr !
Dans un premier temps, suivant les ordres du haut-prêtre et encouragé par la Berserkir de Pa'agrio, les fidèles du dieu du feu assaillirent le grand ver ! Cependant la Bête tout comme les démons venus le protéger étaient bien trop puissants pour eux et les fidèles de Pa'agrio coururent au massacre, suivis par quelques fidèles de Maphr encouragés par leurs actions.
Le Vahlok Blanc intervint en plaçant Trasken, petit frère des dragons, sous la protection directe de l'Ordre Draconnique, poussant alors la Berserkir à retirer les fidèles de Pa'agrio du sanctuaire. Trasken désirait simplement faire repousser ses tentacules abimées et s'assurer que plus jamais personne ne chercherait à les faire disparaître de cette terre qu'il avait gagné, acceptant que les aventuriers viennent quérir les richesses de ses tentacules et leurs racines tant qu'ils n'en arracheraient pas la totalité et ne les brûleraient pas.
Le septième enfant de Shilen, bien raisonnable, n'eut cependant pas le loisir de faire repousser ses racines en paix : Des hordes de centaures, de minotaures et de Lycans très étranges se jetèrent à l'assaut de Trasken ! Et c'est au-dessus du carnage sans fin qui se tramait au cœur du sanctuaire que cinq voix s’élevèrent au travers un nuage d'énergie noirâtre, conséquence d'un puissant sortilège ayant visiblement pour cible Trasken. Qui donc était derrière cet assaut ? Certains murmurèrent le nom d'un certain Lavidos. Pendant des jours l'Ordre Draconnique et par moment d'autres aventuriers, dont les fidèles de Pa'agrio, vinrent défendre Trasken des hordes de créature qui l'assaillaient, les corps se comptant par millier... Mais au fil des massacres, les yeux de Trasken se firent plus vitreux et il se fit plus silencieux, incapable de communiquer, visiblement sous l'effet de l'envoutement des cinq voix dans le ciel.
Il y eut des affrontements, une histoire d'autels magiques et d'incantateur ainsi qu'un combat contre le dénommé Lavidos. Par on ne sait quel moyen, l'Alpha du bastion Lycan parvint à libérer les Lycans étranges du maléfice obscurcissant leur esprit. Il les mena lui-même au bastion où ils furent accueillis et soignés. De son côté, Trasken fut libéré de son envoutement et retrouva la parole comme la raison, les assauts de créatures jusque-là sans fin cessant brusquement. Le Grand Ver remercia celles et ceux l'ayant défendu et disparu dans les méandres de la terre, non sans avoir renforcé ses racines sur place.
Le monde retrouva sa paix précédemment interrompue...
Mais toute paix connait une fin et celle-ci pris fin sous le signe du Loup-Noir : Ne supportant pas la présence des graciens en un continent qui n’était pas le leur, cet ancien guerrier raviva les flammes du conflit en assassinant hybride après hybride, laissant menaces et avertissements sur son chemin, jour après jour au nom d’un clan naissant « Angel Damn ».
L’Empire jusque-là concentré dans ses luttes internes se résigna alors à déployer une légion en ElmoreAden afin de souffler cette révolte naissante, un dénommé Dorian, centurion gracien, fit alors parler de lui en réagissant par plus de violence encore aux actions du Loup-Noir, répondant à la mort des hybrides par la mort de civils innocents, envenimant le conflit au lieu de l’apaiser.
Lors d’une prise d’otage à Floran où Dorian chercha à piéger le loup-noir en échange de ces vies innocentes, celui-ci se manifesta et tua lui-même les otages, mettant le feu au village en essayant d’abattre le centurion, dévoilant que peu lui importait les vies des innocents, seul importait que les graciens souffrent et quittent le continent.
Cette opération se solda par la capture du guerrier, mais le destin devait en avoir décidé autrement puisque un incident inexplicable permis au loup-noir de s’évader : Pour la première fois, la Voix s’était manifestée.
Chuchotant aux oreilles des uns et des autres, un être que nul ne voyait commença à mettre les pions en place sur un échiquier à la taille du continent.
Cette voix guida ceux luttant contre les graciens vers un site proche de la mer des spores, là où des graciens bien curieux essayaient discrètement de percer les mystères de ce qu’ils appelaient un « sceau de pouvoir ». Angel Damn et ses alliés furent ravis de saboter les projets de leurs ennemis, offrant à cette Voix inconnue et les mystérieux mages qui l’accompagnaient l’opportunité de sceller ce sceau… Ou plutôt de se l’accaparer. Si le ciel devint rouge comme le sang, ce ne fut que temporaire : une victoire !
Découvrant que cette voix était celle de l’Unique, les aventuriers d’ElmoreAden ne furent que d’autant plus heureux d’aider cette originale prêtresse et son bienfaisant seigneur qui désiraient empêcher leurs ennemis de toujours de s’accaparer un pouvoir immense. Ainsi ils suivirent la prêtresse jusque dans les terres du chaos afin de devancer les graciens qui pourraient s’intéresser au sceau qui s’y trouvait. Mais les gardiens du lieu étaient puissants, clamant haut et fort que nul ne s’emparerait du sceau de la Destruction qu’ils avaient été chargés de garder. Si les aventuriers en eurent raison, ce ne fut pas sans mal, ni sans dissension : Un guerrier, Vahlok de la forteresse, mettait en doute la bonne foi des mages et de la voix les guidant. Était-ce car une voix mystique avait décrété que c’était une bonne chose, que c’était forcément la chose à faire ? Certains affirmèrent que oui.
Même si certains se rallièrent à sa cause, la dissension et les efforts du Vahlok pour gâcher cet évènement furent insuffisants et une fois de plus, un sceau fut pris par les mages et la Voix. Le feu embrasa un ciel de sang, projetant ici et là sur le monde des colonnes de flammes. Mais les dégâts furent mineurs et le ciel retrouva ben vite son état normal, alors tout allait bien. Les graciens n’auraient pas ce sceau là non plus !
Loin de perdre en motivation, les graciens décidèrent de réagir aux massacres des leurs en frappant à la cité Orientale, terre Natale du Loup Noir qui s’était vanté d’en être originaire face à Dorian quand il pensait le vaincre à leur première rencontre. Après l’annonce d’une attaque portée par les cadavres morts-vivants d’Orientaux innocents, Dorian espérait forcer le loup-noir à se montrer pour l’attraper, ou les siens à le livrer pour épargner la cité. Mais le Loup-Noir ne se présenta jamais. Cherchant alors le conflit au cœur de la cité Orientale, Dorian ne trouva là aucune résistance ou aucun membre du Cénacle pour la défendre face à eux. Menaçant de faire un carnage tandis que ses soldats abimaient la ville sans créer de réels dommages, seuls quelques curieux étaient venus observer la scène, se défendant d’être originaires de la ville et de pouvoir parler en son nom. Ce n’est que l’arrivée de la fille de la reine, accompagnée de représentants de l’Ordre Draconnique, qui mit fin au saccage et aux menaces. Elle négocia le bannissement du Loup-Noir en échange de la paix pour sa cité et les graciens repartirent satisfaits.
Quelques jours plus tard, la princesse confia la ville à celle qui fut tavernière puis intendante. Une nouvelle reine était là pour Orientale.
Le Loup-Noir fut banni d’Orientale, il ne menaça plus l’empire gracien et on ne le revit plus. Les graciens restèrent malgré tout agités, plus violents qu’auparavant dans les villes occupées, les incidents impliquants des hybrides au dépend des citoyens se faisant plus nombreux comme à la cité des glaces où plusieurs nains furent exécutés pour avoir dérangé un hybride, provoquant l’indignation de certaines personnes de passage qui traitèrent les graciens de tyrans… Ils ne contestèrent pas, mais passèrent tout de même à tabac ceux qui protestaient contre leur politique.
Dans le même temps une étrange jeune femme commença à se manifester en Aden, d’abord discrète puis bien moins au fur et à mesure que les jours avançaient : Elle prétendait s’appeler Maena Cadmus, héritière légitime du royaume d’Aden, nourrissant naïvement le projet de restaurer Aden, méfiante envers l’Unique comme envers les Graciens… et les graciens, eux ne chômaient pas.
Dans le ciel, des navires graciens patrouillaient tout le continent en quête d’une chose qu’un autre trouva avant eux : La prêtresse de l’Unique, ses amis, ses alliés et une cornue aux cheveux roses rejoignirent les forces de l’Unique pour libérer le dernier sceau dans les terres Sombres et marécageuses. Une fois de plus les démons surgirent pour empêcher que qui que ce soit ne s’empare du sceau. Pendant que les aventuriers se battaient contre les démons, la magie du sceau se déchainait partout dans le monde et des morts-vivants se mirent à émerger de terre, assaillant les cités, cherchant à dévorer tout ce qui était vivant.
Les démons furent vaincus mais ce furent aux graciens de prendre la relève, leurs navires de plus en plus nombreux envoyant au sol des unités par centaines pour essayer d’arrêter les aventuriers et les mages de l’Unique. Quand leurs derniers navires arrivèrent, il était trop tard : Un vortex géant s’ouvrait dans le ciel pour absorber la magie du sceau, dévorant en même temps les navires dans le ciel tandis que les serviteurs de l’Unique se joignaient aux aventuriers au sol pour combattre et éliminer les graciens. Le tribun de la légion, un orc nommé Labidavilisk, vint lui-même au sol confronter les aventuriers… Mais il fut vaincu et laissé pour mort.
Chaque ville avait souffert de l’assaut des morts-vivants, et si ceux-ci s’étaient écroulés après que le vortex de l’Unique ai dévoré le pouvoir du sceau, ils laissaient derrière eux leur lot de cadavre. Pourtant, sans aucune explication, dans les jours qui suivirent les hommes et femmes morts dans les villes revinrent toquer aux portes de leurs villes, nus et sans souvenir de la soirée funeste : Un véritable Miracle ! Mais quelle divinité était à remercier pour celui-ci ? Une voix soufflait que c’était l’Unique…
L’ensemble des sceaux avaient quitté ce monde, selon certains à l’abris de toute convoitise, selon d’autres entre des mains bienveillantes… Et selon les derniers entre les pires mains qui soient. Toujours est-il qu’aucune apocalypse ne semble avoir frappé le monde pour le moment… Les fameux « Sept Sceaux de Shilen » auraient-ils disparus à jamais ? Qu’en était-il des quatre autres que certains disent déjà disparus depuis longtemps ? Seul l’avenir le dirait. Toujours est-il que les graciens ne mettraient pas la main dessus au moins.
Pendant ce temps, à la Forteresse d’Aurakia, une nouvelle cérémonie eu lieu dans le but de laisser se réveiller la dragonne. Visiblement, les habitants croyant dur comme fer aux légendes. La cérémonie cette fois eu lieu en deux endroits différents, mais pourtant si semblable. Des Vahloks se trouvant dans le songe tout autant que dans le monde réel pour ce faire. Parait-il que les marqués des dragons reçurent un message, message qui semble n’avoir toujours pas porté ses fruits. La vision fantomatique d’un cheval à six pattes fut confirmée, tout autant que celle d’un dragon fantomatique.
Non loin de la Cité d’Oriental, le corps d’une femme blonde fut repêché dans la rivière, prétextant venir d’un vortex, et donc d’un autre monde. Elle fut ramenée à la cité pour être séchée et nourrit avant qu’elle ne quitte précipitamment la cité Orientale sous les menaces d’un nain. Celui-ci devenu hargneux et méfiant en apprenant que la femme était gracienne. Elle disparue au loin, certains dirons qu’elle se serait écroulée à la cité Nécrotique, là, ou des hybrides, à la vue de l’armure gracienne, l’aurait tout simplement rapatrié a Keucereus.
Les effectifs des graciens en ElmoreAden ayant souffert de lourdes pertes lors de la Bataille du Sceau, ceux-ci semblèrent entrer dans une période d’inactivité. Ils avaient perdu la course au sceau et le gros de l’empire était toujours en plein conflit interne, aussi, et malgré des renforts obtenus par Labidavilisk qui était finalement encore en vie, les graciens se firent plus discrets et plus calmes, cela allant de pair avec la fin des provocations à leur encontre.
Ce fait ne fut troublé que par l’impertinence d’un nain qui, refusant de ranger sa canne à pêche devant un hybride, décida de tuer l’hybride qui manqua peut-être légèrement de tact. Attrapé pour son méfait, le nain fut arrêté et mis en vente aux enchères de la cité Gracienne en tant qu’esclave. Racheté par la prêtresse de l’Unique et ami avec les orientaux, il ne tarda pas à leur attirer des ennuis quand il recommença ses méfaits contre l’empire. Cependant cette fois-ci quand Dorian vint accompagné de quelques hybrides aux portes d’Orientale, il fut accueilli par les Orientaux et leurs alliés avec des armes et de la magie. Les graciens furent repoussés mais le centurion rageur fit mander pour venger son humiliation un navire gracien ainsi qu’une troupe d’élite afin de réduire en cendre la ville et faire venger son humiliation.
A son retour aux portes de la cité il eut cependant la surprise de trouver l’officière gracienne Dayos proclamant la ville sous sa protection et celle de ses hommes avec l’accord de la reine locale. Dorian fut forcé de ronger son frein et de repartir d’où il venait, bien que visiblement toujours enragé par son humiliation.
Des hybrides étranges, fruits du travail de Dayos, prirent alors place aux portes d’Orientale afin de prévenir d’un éventuel retour du centurion mécontent, protégeant la ville sous les ordres de Dayos elle-même.
A la cité d’Aden, la fameuse héritière légitime décida d’entrer en action afin de purifier sa ville natale de la présence démoniaque des démons s’y trouvant. Dans un sortilège de lumière fantastique mené depuis le château de la cité, elle fit lever une sphère de lumière incandescente dans les cieux, affaiblissant les forces démoniaques en ville et forçant les démons jusque-là cachés à se manifester. Dans le même temps, des légions d’anges descendirent du ciel pour répondre à l’appel de Maena Cadmus, celle-ci invitant mortels comme immortels à venir combattre les démons et leur corruption afin de rendre à la cité sa beauté et sa vie d’antan ! A l’inverse, le démon Mezesphaiël fit résonner sa voix dans le sol de la cité, offrant à ceux qui massacreraient les anges la promesse de richesses matérielles.
Pendant une dizaine de jour, ange et démons s’affrontèrent, des aventuriers et héros choisissant leur camp dans ce combat. Les anges maîtres du château et des jardins de la ville affrontèrent vaillamment les démons fortifiés dans la ville en elle-même… Cependant, les démons obtinrent plus de soutien de la part des aventuriers et parvinrent à prendre l’ascendant sur les anges, envahissant les jardins mètre après mètre.
Finalement, une issue tragique vint clôturer cette bataille. L’on évoqua d’abord une attaque sur l’héritière et le vol du précieux et puissant collier magique qu’elle portait à son cou, affaiblissant la sphère de magie dans le ciel et offrant encore plus d’avantage aux démons. Deux jours plus tard, elle fut retrouvée crucifiée sur les portes du château qu’elle avait occupé et sa mort provoqua l’avancée des démons dans les jardins qui purent ainsi massacrer humains et ange, torturant ceux-ci des plus ignobles façon pour fêter leur victoire. Désormais, les démons étaient maîtres absolus de la cité et semblaient ressortir grandis de cet affrontement.
Le corps de Maena fut récupéré par une cornue aux cheveux roses et pourtant remis à qui de droit pour lui offrir une sépulture dans les cimetières d’Aden, une tombe y trônant aujourd’hui. Quand aux humains torturés par les démons, cette même cornue les fit libérer contre monnaie sonnante et trébuchante auprès des démons, rapatriant ces soldats mal en point jusqu’à la Forteresse d’Aurakia où ils furent choyés et soignés jusqu’à retrouver toutes leurs forces et leur santé mentale, la plupart d’entre eux semblant s’installer à la forteresse qui les avait recueillis pour le moment. Certains diront que des démons seraient derrière la mort de l’héritière, d’autres qu’elle s’était faite de puissants ennemis, et d’autres encore qu’elle eût trop d’ambition pour une si petite tête. Pourtant, la mort de l’héritière sembla en attrister plus d’un.
Et puis un banquet fut organisé au château de la Cité gracienne. Et les esclaves et les civils sont invités, surement un piège, mais qui l'humaine blonde aux yeux violets pourrait-elle avoir envie de piéger ? Chose sure, tous et chacun, même les mendiants, se seraient vu remettre une invitation. Qui osera venir dans cet enfer ? Un banquet tout en musique dans un décor grandiose, sans puritanisme, sous les auspices d'un énorme vortex. La liqueur coulait à fond tout autant que les discutions. Tellement que bien peu se rendirent compte des portes qui se refermaient peu à peu pour garder l'endroit le plus clos possible. Le combats dehors commençaient déjà à faire range et pourtant bien peu entendirent ceux-ci.
Ce fut l'annonciation, le conseil Gracien avait statué sur la trêve présente actuellement. C'est devant tous les convives que la fin de la trêve fut annoncée, prédisposant à un piège et un massacre en règle des invités. C'était sans compter le vortex vrombissant qui laissa passer plusieurs hybrides violacés. Les combats furent très courts ... et le seul qui eu le temps de pousser un cri en se levant finit la tête tranchée par Labidavilisk.
En quelques secondes à peine, le conseil Gracia gisait dans son sang, alors que Labidavilisk criait bien fort
''Gloire à la nouvelle Impératrice''
Un coup d'état proprement mené, les cités tombaient une à une, sauf la cité Nécrotique qui semble toujours résister à l'envahisseur. Pour certains, c'était à cause des nécromanciens, pour d'autres une question de potion magique tandis que d'autres annoncent la potentille présence de Dorian au coeur du château.
L'on retrouva malheureusement le corps d'un homme à l'étage, visiblement il aurait bu du vin empoisonné sur la mauvaise poitrine. Un pauvre homme finit piétiner par un carrosse qui quitta la cité, trop pressé d'évacuer. Il est encore à ce jour, non identifié. Les cadavres des six membres du conseils pourriraient au soleil entre la cité et le château. Un avertissement ? Mais à qui ?
Un nouveau règne Gracien débutant, plus doux que l’ancien, malgré l’ombre de Dorian se rebellant en tenant sous son joug la cité Nécrotique. La douceur ne semblant pas donner plus que la cruauté, il ne fallut guère de temps pour qu’un hybride pacifié ne fut étripé sans qu’il ne rende aucun coup. Non plus de temps pour que certains magouillent dans le dos de la blonde sous couvert de montrer pattes blanches. Peut-être ont-ils oublié qu’un Gracien ne se laisse jamais marcher sur les pieds ? Le prix ne sera peut-être pas à leur goût. Aden attisant la convoitise, plusieurs semblant chercher à négocier avec l'avarice elle même, prenez garde, leur but est tout de même d’en tirer le maximum.